Le Scénario

 

J’étais à genoux par terre, le sol était froid et mes genoux commençaient à me faire mal car j’attendais dans cette position depuis un moment. Il se tenait à côte de moi et il tenait la chaîne qui pendait de mon collier, je ne pouvais pas le voir car il m’avait bandé les yeux mais je sentais le tissu épais de son pantalon et sa jambe gauche se frotter contre mon bras droit. Il était débout, à côté de moi en Maître de la chienne que j’étais à ce moment précis de mon existence.

A sa droite il y avait le canapé qu’il avait ouvert pour plus de commodité et derrière nous se trouvait une table basse.

J’étais habillée uniquement avec des collants et un porte jarretelles, pas soutiens gorge, pas de string, uniquement ça, en d’autres termes j’étais nue. Mes mains étaient attachées derrière mon dos, un masque sur les yeux et j’avais interdiction formelle de parler.

J’ai entendu les vibrations de son téléphone, il a décroché, la voix masculine de son ami s’entendait lointaine, mais je n’arrivais pas à entendre clairement les mots, j’ai déduit de la conversation qu’il ne tarderait pas ; « Oui allo ? » … « oui, c’est bon, elle est prête on t’attend » … « ok ! t’arrives dans combien de temps ? » …  « Parfait ! » et il a raccroché.

Ensuite il s’est dirigé vers la table basse où étaient déposées « les armes » qui allaient servir cette nuit-là. Il a attrapé un bâillon qui avait boule rouge en plastique et deux attaches en cuir noir pour le fermer. Il est venu vers moi et m’a dit « ouvre la bouche, il sera bientôt là » il a placé la boule dans ma bouche et refermé derrière, méthodiquement comme celui qui suit une recette de cuisine, il a fait le tour pour se mettre devant moi. Mon collier était équipé de deux petites chaînes avec des pinces tétons au bout de chacune, qu’il a prise et placé sur les seins. La porte a sonné il a ouvert et est venu tenir ma laisse à nouveau. J’ai entendu des pas et la porte se refermer. Son ami s’est avancé dans la pièce.

-          La voilà, j’ai déjà commencé à la préparer mais, il y a encore du boulot…

-          Je vois ça, c’est un très bon début.

Il s’est approché et il a attrapé mon visage avec une main, ma bouche dégoulinait de bave avec le bâillon, j’ai senti qu’il aimait ça.

-          Fais-moi voir le reste !

En disant ça il se sont tous les deux exécutés ils mon prise (par les cheveux et par les bras) pour me retourner vers le canapé où ils m’ont penché. Je n’avais pas mes bras pour retenir la chute, toujours attachés derrière mon dos, donc rien ne m’a empêché de tomber la tête la première sur le canapé, mes genoux étaient toujours par terre et voilà qu’ils avaient accès à tous mes orifices. C’était une position très vulnérable, pour le moins risqué ne sachant pas ce qu’ils pourraient avoir comme « brillante idée ».

J’ai senti leurs mains écarter mes fesses et mes cuisses et des doigts se balader à l’entrée de mon vagin et de mon cul pour vérifier si je mouillais bien.

Ils ont dit, presqu’au même temps, « maintenant, on va bien s’occuper de toi », ensuite celui qui venait d’arriver a poursuivi « mais d’abord tu vas te prendre la fessée de ta vie pour être une aussi grosse salope ! » et j’ai senti sa main arriver sur mes fesses avec une grande violence, ils ont commencé à me frapper tous les deux, de façon pas forcement coordonnée, mais avec une puissance si forte que dès les premiers coups j’ai senti mes fesses s’embrasser. J’hurlais la tête dans le canapé, mais avec leurs mains libres ils me tenaient l’un par les cheveux et l’autre par le dos pour me pousser d’avantage contre le canapé et me faire taire. Mais leur punition ne s’arrêtait pas et à chaque coup je criais plus fort. « Stop ! stop ! arrêtez maintenant ! » mes mots étaient incompréhensibles entre bâillon, cris et canapé ! Quand mes fesses blanches étaient devenues d’un rouge à leurs goût (ou bien c’était leurs mains qui commençaient à chauffer aussi, qui sait), mais ils se sont arrêtés.

Ils m’ont relevé et j’ai pris de l’aire, mes yeux pleuraient de la salive coulait de ma bouche comme un chien enragé (une chienne en l’occurrence) mes cheveux collaient à mon visage et je ne pouvais pas plus les détester.

Ils ont enlevé le bâillon et le masque, mon maquillage avait coulé dedans, mes yeux avaient du mascara noir tout autour et sur la boule des marques de mon rouge à lèvres.

-          « Tu veux de l’eau ? »

J’ai bu du verre qu’il me tendait, il me donnait à boire puisque mes mains étaient attachées. Au moins ils ne laissent pas mourir de soif leurs victimes.

-          Ça va mieux ?

J’ai fait oui de la tête.

-          Dans ce cas remets toi dans la même position on n’a pas terminé !

Il a dû voir le désespoir dans mon visage car il a enchainé ;

-          Non, plus de fessée, mais on va préparer tes trous.

Et me revoilà dans la même position, ils m’ont bien fait écarter les jambes, ma chatte était mouillée comme jamais, ils m’ont donné quelques claques à l’entrée de mon vagin et je sentais comment mon jus dégoulinait.

Ils sont allés sur la table chercher du « matériel » pour la suite des expériences et sont revenus avec des pinces et un plug anal.

-          Ecarte encore un peu plus les jambes et cambre toi bien.

Je l’ai fait et j’ai senti qu’il accrochait les pinces sur les lèvres de ma vulve.

-          C’est mieux comme ça ! – il a dit, fier comme un gosse.

Son ami armé du plug est venu titiller l’entrée de mon cul. J’ai senti la pointe froide et pointue du plug métallique.

-          T’es prête ?

Et sans me laisser le temps de répondre il m’avait déjà plugée !  

C’est bon j’étais prête, il faut croire. En me relevant du canapé ils ont ouvert leurs pantalons quasi simultanément, leurs bites étaient déjà grosses dedans et ce depuis un bon moment. Ils l’ont sorti, tous les deux, près de mon visage, je pouvais la sentir, je voyais bien les veines gonfler et ramener plus de sang pour les faire grossir davantage maintenant qu’elles étaient libérées. J’ai eu immédiatement envie de les prendre en bouche et leurs bouffer jusqu’au couilles. J’ai ouvert la bouche et tiré la langue pour bien faire passer le message. Il a été immédiatement compris. J’ai commencé à les sucer à tour de rôle. Je me régalais de leurs glands qu’ils découvraient pour moi avec leurs mains afin que je puisse mieux les déguster. C’était un délice. Ils se servaient de ma bouche comme d’un troisième orifice et ils veillaient à bien le baiser et bien m’étouffer en me tenant par la tête.

Je me sentais parfaitement à ma place à leurs laisser ma bouche à disposition, ma mouille coulait sur les pinces tétons accrochés à mes lèvres vaginales pendant que le plug faisait son boulot et préparait mon cul pour la suite.

Ils m’ont fait sucer un bon moment et comme j’avais été une petite chienne très sage et obéissante, ils ont consenti à m’enlever les pinces que j’avais sur les tétons. J’ai eu droit également à quelques gifler de remerciement pour les bonnes pipes que je venais de leurs faire et mes poignés ont étés libérés (notamment pour que je puise branler et sucer au même temps) ce qui a été le cas pendant encore quelques instants.

Quand leurs bites étaient sur le point d’exploser, ils m’ont fait monter sur le canapé à quatre pattes pour inspecter de plus près le travail entamé précédemment. Leurs doigts se sont glissés dans ma chatte en s’ouvrant un chemin parmi les pinces métalliques. C’était inconfortable mais plaisant au même temps, un plaisir dérangeant, qui n’a pas duré car ils m’ont ensuite arraché les pinces d’un coup en tirant dessus sans les ouvrir. Me faisant crier quelques instants.

Sans d’autres considérations, l’un d’eux m’a pénétré. C’était très serré avec le plug dans le cul et terriblement bon !

Il me tenait par les hanches et je sentais ses coup reins me transpercer. Il est resté quelques instants avant de passer son tour au suivant. Je criais de plaisir cette fois, tellement c’était bon de les avoir en moi !

Celui dont la bite venait de quitter mon vagin, est venu devant moi me la mettre dans la bouche pour la lui nettoyer. Ce n’est pas ce que je préfère car j’aime le goût de la bite tout seul, et pas le goût du fond de mon vagin, mais évidemment je l’ai fait, je suis ici pour bien m’occuper d’eux après tout.

Suite à cela le moment était venu d’enlever le plug et d’examiner l’état d’ouverture de mon petit cul.

Ils se sont mis tous les deux derrière moi pour cette mission en m’écartant les fesses d’une main chacun. J’étais bien cambrée pour que ce soit plus facile et le plug a été retiré. L’entrée de mon cul est restée ouverte quelques instants avant de se refermer à nouveau, donc, un autre outil de la table a été sélectionné pour la suite des opérations. Un gode, ni trop gros ni trop fin, allait servir à poursuivre l’ouverture anale. Ils l’ont fait rentrer et sortir plusieurs fois en le retirant complément pour vérifier la dilatation. Lorsque l’ouverture était satisfaisante à leurs yeux ils sont passés à m’enculer à tour de rôle, un coup de rein chacun, la renter un fois la ressortir et c’était au tour du suivant. Ils étaient très coordonnés et satisfaits de voir comment mon cul s’ouvrait de plus en plus.

Mon cul a servi comme ça des longues minutes, des fois l’un restait plus, d’autres fois ils enchaînent les bites. Je stimulais mon clitoris avec un vibromasseur ce qui aidait à garder mon cul bien dilaté, lorsque je sentais l’orgasme approcher j’enlevait le vibromasseur pour que cela dure au maximum.

La nuit a été longue et par la suite j’ai eu droit également à une double pénétration.

Ils avaient des doutes quant à la façon dont ils avaient envie de terminer, mais pour finir, j’étais emmenée, en marchant à quatre pattes avec mon collier et ma laisse, dans la salle de bain. J’ai pompé leurs bites jusqu’à ce qu’elles étaient prêtes à cracher et lorsque ce fut le moment je me suis retournée, ils ont enfoncé leurs glands simultanément dans mon cul pour cracher dedans. Je gardais mon cul ouvert avec les deux mains et je sentais le sperme couler dans mon cul et sur mes fesses. J’ai nettoyé leurs glands avec ma bouche ensuite ils ont nettoyé à leurs tour mon cul en pissant dessus. J’ai été arrosée de pisse chaude de leurs deux bites à quatre pattes sous la douche, ils vissaient bien cul, mais j’en ai eu partout, sur le dos, les pieds, jambes, les cheveux, ça sentait fort, l’excitation et les hormones de male et moi je me sentais souillée et humiliée, mais tellement excitée !

Ils sont partis ensuite, en me laissant toute seule dans la douche. C’était terminé.

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