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Ils étaient trois soldats de garde ce soir-là, une fois de plus, mon Maître m'avait donne l'ordre de les servir et il leur avait donné mon numéro, un appel inconnu s’est affiché sur l’écran de mon téléphone, c’était eux qui appelaient, en numéro masqué comme toujours, j'ai répondu ;

- Allô? -

Une voix masculine de l'autre côté du téléphone a demandée ;

- C'est toi la prostituée ? -

J'ai failli éclater de rire, mais quelle idée lui avait passé par la tête de leurs dire que j'étais une prostituée et puis comment c'était possible qu'ils puissent croire que c'était vrai !? C’était une comédie, mais d’autre part, je trouvais l'idée très excitante donc j’étais très amusée de jouer ce rôle, c’est pourquoi après avoir ris en silence pendant quelques secondes, j'ai répondu ce qu'était attendu de moi ;

- Oui, c'est bien moi, on m'a dit que vous aviez besoin de mon aide -

- Oui, c'est ça, nous sommes trois de garde ce soir et on se mate un film porno, on nous a dit que tu pouvais nous aider à nous vider les couilles - il a dit.

Il parlait de façon grossière, c’était soit délibéré, vu qu’il pensait vraiment parler à une prostituée et qu’il jouait également un rôle de son côté, soit c’était quelqu’un de réellement vulgaire. Quoi qu’il en soit je n’avais pas le temps ni l’envie de me pencher sur la question et de toutes façons, je trouve que les grossièretés et la vulgarité dans le sexe sont bien plus excitantes que les mots doux qui ne me font débander.

- Tes amis sont là? - j'ai demandé, - ils peuvent m'entendre ? -

Je l'ai entendu appeler ses amis au loin pour qu'ils s'approchent.

- Vous êtes où ? - j'ai demandé

- On est dans une salle on se branle et on regarde un film -

Soudainement, je n’étais plus assise par terre sur le carrelage de ma salle de bain (où je m’étais cachée pour répondre au téléphone) mais j'étais mentalement partie avec eux dans cette pièce.

Il y avait une table basse carrée, plutôt solide au milieu de la pièce et ils étaient assis autour sur des chaises en bois avec des pieds métalliques, comme celles qu'on trouve dans les écoles et universités, en face une grande télé avec un porno, dans le film une meuf se fait prendre par cinq mecs, exactement la même chose qui était sur le point de m'arriver.

Il y en avait deux qui lui baisent la chatte et le cul, elle avait une autre bite dans la bouche et elle était entrain de branle les deux autres.

J'étais à genoux par terre face à la télé, eux trois derrière moi à regarder le porno, je devais regarder aussi, interdiction de tourner la tête et je les entendait ouvrir leurs pantalon derrière moi.

Ils avaient leurs uniformes militaires et ils avaient simplement ouvert leurs pantalons pour dévoiler leurs grosses bites. Ils se branlaient chacun à sa façon, leurs bites étaient dures, des gouttes de liquide collant sortaient au bout de leurs glands gros et rouge pleins de sang, leurs mains montaient est redescendaient en emmenant la peau qui cachait partiellement leurs gros glands pendant quelques secondes dans le mouvement, on pouvait voir les veines saillantes acheminer le sang qui faisait gonfler leurs gros sexes. On ne pouvait qu’avoir envie d’y gouter, qu’on vienne nous donner ces glands juteux dans la bouche comme un fruit.

L'un d'eux s'est approché, j'ai senti sa respiration sur ma nuque, il a dit:

- Maintenant tu sais ce que tu vas faire? Tu vas venir par terre entre nos jambes nous sucer pendant qu'on regarde notre film -.

C’était précisément de quoi j’avais envie, les prendre une après l'autre dans la bouche, voir au même temps si possible, qu'ils me frappent le vissage avec leurs sexes et en me tirant par les cheveux qu'ils m'obligeaient à ouvrir la bouche pour venir enfoncer leurs bites à tour de rôle jusqu'aux plus profond de ma gorge!

- Suce moi sale pute et suce aussi mes potes, tu vas passer d’une bite à l’autre et t’iras là où on va t‘appeler ! -

Il a dit et au même temps ses mains m'ont prise par les bras et il m'a retourné face aux deux autres qui se branlaient et me regardaient avec un air du genre, tu vas en prendre de toutes les couleurs.

J'étais complètement nue, pour marquer encore plus clairement la différence entre moi (l'objet) et eux (les utilisateurs).

Je me suis rapidement exécuté à faire ce qui m'avait été demandé, je passais donc d’une bite à l’autre, j’étais à genoux par terre devant eux, le sol était en carrelage, il était froid et désagréable, mais après tout je n’étais qu’une prostituée je n’avais pas à me plaindre de me retrouver dans une situation inconfortable, j’étais à ma place, par terre à leur rendre service et c’était très bien comme ça !

L'un d'entre eux que je n'avait pas encore sucé s'est levé et il s'est approché par derrière.

- T’as envie que je te suce ? - j’ai demandé

- Non, je veux t’enculer moi - il a répondu - on va te faire monter sur une table et mes deux potes vont te tenir les bras écartés pendant que je t’encule, on va t’enculer à tour de rôle et on va taper fort, sans pitié car tu n’es qu’une sale prostitue et c’est tout ce que tu mérites ! On va bien t’ouvrir le cul sale chienne ! -

Quand il a dit ça, j'ai senti mon cœur s'emballer et tout les poils de mon corps s'iriser, et en moins de temps qu'il ne lui a fallu pour le dire, les deux autres se sont joint à lui et je me suis retrouvée à genoux sur cette table.

Celui qui avait pris m'initiative de s'inviter dans mon trou du cul sans me demander mon avis, avait baissé son pantalon qui était au niveau de ses chevilles pour me prendre plus facilement, ses deux amis me tenaient fermement, les jambes bien écartées lui laissant libre accès à tous mes trous, les bras en croix je ne pouvais pas voir ce que le troisième s’apprêtait à faire, mais je pouvais l’imaginer, je sentais ses mains sur la peau de mes fesses me toucher et les écarter pour accéder à mon anus, il crachait à l’entrée pour que sa bite rentre plus facilement dedans. Il a commencé à m'ouvrir le cul avec ses doigts et n'étant pas satisfait de la lubrication qu'il obtenait rien qu'avec sa salive, il a pris une bouteille d'huile qui traînait dans la pièce un peu plus loin. Il a commencé à me mettre de l'huile partout sur le corps, depuis le dos jusqu'à ce que ça coule sur mes fesses et l'entré de mon cul. Il l'étalait et venait avec ses mains en mettre sur mes seins aussi. Puis il a repris l'ouverture anale qu'il avait entamé, il faisait tourner ses doigts dans mon cul dans le seul objectif de l'ouvrir, de bien le dilater, pour lui et ses deux amis, j'avais l'impression qu'il s'agissait d'un acte médical, purement mécanique de préparation sans tenir compte de s'il me produisait ou non du plaisir, j'étais bonne à subir leurs expérience et à les laisser se servir de mes trous. Quand il a considéré qu'il l'avait suffisamment dilaté, je l'ai senti placer son gland à l'entrée de mon cul, il s'est ouvert le chemin et il est rentré bien serré, tout doucement.

- Je t’ouvre bien les fesses et je t’encule, t'as vu ?! Ah ! J’y suis ! Qu’on est bien dans ton cul sale pute ! Je vais taper fort pendant deux minutes et puis ça sera autour de mon pote de venir, il va aussi taper le plus fort possible pendant deux minutes et on va enchainer comme ça, t’auras le cul bien dilaté après ! On va te baiser comme la prostituée que t'es, on va t'achever, on va passer sur toi l'un après l'autre et taper dans ton cul comme des malades ! - 

Ensuite il s’adressé à ses amis ;

-Tenez-là bien les gars je vais la démonter cette pute! -

Je sentais sa grosse bite en moi, les deux autres me tenaient fermement, j'hurlais et mes cris le motivaient à aller encore plus fort ! J’étais en sueur !

Au bout de deux minutes il s'est retiré et son collègue l'a remplacé, et ainsi de suite ;

- Je vais t'enculer aussi sale chienne pendant deux minutes, on va t'ouvrir le cul à nous trois et tu ne pourras pas nous échapper ! -

En disant ça il était déjà dedans, je transpirais, j'attendais qu'il termine ou qu'il se fatigue, je le sentais entrer et sortir de mon cul dilaté comme jamais, j'avais beau essayer de lui échapper il me tenait fermement par les hanches et ses deux collègues par les bras ! Je n’avais de mot de sécurité et même si j’en aurais eu un ça n’aurait probablement pas servi, il ne se serait pas arrêté pour autant, ils étaient clairement en supériorité numérique et je n’étais qu’une prostituée après tout !

Celui à qui était le tour de m’ouvrir l’anus veillait également à que ses deux autres amis s’occupent bien de moi ;

- Pendant que je t’encule mes potes vont te gifler et te cracher au visage ! On n’aura aucun respect pour toi car c’est ça tout ce que tu mérites ! Ils vont t’insulter et te rabaisser ! -

J’étais extrêmement excitée d’être à la merci de ses trois cinglés ! J’avais la chatte trempée et bien sûr j’encourageai leur folie !

- Ne t’arrêtes pas ! Tape plus fort ! C’est si bon de t’avoir dans le cul ! J’aimes les bites bien grosses comme la tienne ! Oh oui ! Continu ! -

L'un de ceux qui me tenait par les bras et qui était entrain de se branler de façon frénétique, est monté à genoux sur la table devant moi, il m'a giflé avec une main et craché au visage, 

-Sale PUTE ! - il m'a dit en me regardant dans les yeux, ses yeux étaient dilatés par l'excitation qui lui procuré me traiter comme ça !

Dans le même élan en m'ouvrant la bouche il a enfoncé sa bite dedans il m'a prise par les cheveux et il m'a baisé la bouche comme un troisième trou ! 

- Je vais jouir ! Ah ! Je vais jouir sur ta gueule de pute ! - il a dit en tirant sur mes cheveux.

J'ai vu les gouttes de sperme jaillir de sa bite pendant qu’il se branlait pour atterrir sur mon visage, il était blanc, très épais et il y en avait énormément, j'avais le visage recouvert de sperme !

Celui qui était dans mon cul en mourrait d'envie de venir aussi, mais il voulait me voir subir d'avantage. Il a dit a celui qui me tenait encore par les bras de se coucher par terre et ensuite il m'a fait descendre de la table pour venir le sucer. J'avais le visage plein de sperme qui dégoulinait et qui commençait à sécher, je suis venue avec ma bouche sur la bite de celui qui était couché, L'autre est venu à nouveau dans mon cul en me disant; 

-  Moi je veux jouir au fond de ton trou du cul ! Par terre comme une chienne pendant que tu suce mon pote ! La mienne est la plus grosse bite des trois, elle va bien t'ouvrir !

En se retournant vers celui qui m'avait giclé au visage il a dit;

- Mon autre collègue va appuyer sur ta tête avec ses bottes pour que tu t’étouffe bien avec la bite de mon ami, tu vas bien lui sucer et bien l’avaler ! Il va cracher au fond de ta gorge au même temps que je t’ouvre le cul moi ! -

Je sentais la bote du mec appuyer sur ma tête et la bite de son ami m'exploser la gorge à chaque appuis J'avais les larmes aux yeux et je m'étouffait avec ma propre salive. Celui qui était dans mon cul faisait des aller-retour réguliers et je sentais ses grosses couilles bien pleines cogner ma chatte à chaque coup!

Le premier à venir a été celui qui était dans mon cul ! Ses gémissements étaient fort, il répétait ;

- Ah ! qu’il est bon ton cul ! -

Oh oui il est bon mon cul et j’adore qu’on me le remplisse bien !

Quand il a terminé il s'est retiré, mon cul est resté bien dilaté, avec ses deux mains il a écarté mes fesses pour voir son ouvre et il a appelé son pote qui avait sa bote sur ma tête pour lui montrer.

- Regarde moi ça comme on lui a bien ouvert le cul à cette sale pute, je lui ai bien rempli de sperme, regarde comme ça coule... - 

Et ils se sont arrêtés quelques instants admirer le tableau, en me donnant une claque du style "t'es une bonne chienne" ils m'ont dit;

- Merci ! On te laisse finir notre pote -

Je n'avais pas arrêté de le sucer jusque là, je l'ai sorti de ma bouche pour lui demander comment il voulait venir ;

- Je veux tout lâcher au fond de ta gorge - il m'a dit

- Suce sale pute ! -

- Oui, je te suce ! -

J’avais le visage plein de sperme le cul ouvert et dégoulinant de tout ce que son ami venait de lâcher dedans, et la bouche pleine de bave après qu’on m’ait écrasé la tête avec une bote sur sa bite.

Je montais et je redescendais sur ta bite jusqu’au fond de ma gorge, je l’avalais bien en entier, en m'appliquant bien, avec une main je le branlais et avec l'autre je malaxais ses couilles, sa bite était plein de ma salive, elle glissait de mes mains tellement elle était grosse et gonflée, c'était délicieux de la lui bouffer !

- Oh oui ! Je vais bien me vider les couilles au fond de ta gorge ! Je vais t’obliger à tout avaler ! -

J’ai entendu son orgasme arriver à son tour, ses forts gémissements et son sperme commencer à couler au fond de ma gorge, il a tenu ma tête et il m'a empêché de reculer jusqu'à ce qu'il s'est assuré que j'avais bien tout avalé.

Finalement ils ont dit ;

- Merci beaucoup la prostituée de nous avoir vidé moi et mes potes c’était bon ! Au revoir ! - et ils ont raccroché.

De retour au carrelage de ma salle de bain, ma chatte trempée le clitoris gonflée à me toucher frénétiquement, les images de ce qui venait de se produire encore dans ma tête, j'ai senti les spammes de l'orgasme me parcourir, tellement intenses ! Comme si je venais de vivre l'expérience pour de vrai et je suis restée là, par terre épuisée et troublée, jusqu'à finir de vivre cet instant et de retrouver la paix après l'agitation interne qui venait de me bousculer...

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